BEZIERS
La résidence des Floralies à Ramonville, construite en 1972 avec ses 317 cubes de 5 x 7 mètres, est un exemple de l’architecture brutaliste des années 60. Quarante ans plus tard, ce quartier de 276 logements, autrefois symbole de modernité, est devenu une cité fantôme promise à la destruction. L’Adieu aux Floralies propose une dernière déambulation dans cette résidence, à la recherche d’une utopie perdue.
Projection suivie d’une rencontre avec le réalisateur, Sylvain Luini.
Une mini-exposition en lien avec le film est présentée dans le hall de l’Auditorium, avec des photographies issues de l’exposition Soleil Devèze de la Maison du projet Georges Bousquet, réalisée par l’association Surveyor One.