TOULOUSE
Cet artiste emblématique du XXe siècle, est d’une grande singularité. Dans les années 1920, il absorbe la fin du mouvement cubiste, puis incarne le sculpteur surréaliste par excellence. En revanche, après-guerre, alors que les abstractions triomphent de part et d’autre de l’Atlantique, il affirme un choix qui lui est propre, à lui et à quelques autres : celui de la figuration.
Mêlant chefs-d’œuvre, sculptures, peintures, gravures, photographies et aussi archives, cette exposition vous fait pénétrer dans ces années 1950 élargies, essentielles pour la compréhension des mutations artistiques et intellectuelles.
Elle est composée essentiellement grâce à la collection de la Fondation Giacometti, qui conserve les œuvres que l’artiste a gardées avec lui toute sa vie. Elle rassemble une centaine d’œuvres dont Le Chariot (1945), La Cage (1950), L’homme qui marche (1960), une Grande Femme (1960), ou encore un ensemble remarquable de peintures, afin de brosser une vaste fresque de l’artiste comme un acteur du monde de l’après-guerre, par ses créations, ses liens avec le monde intellectuel et artistique, ses expositions et ses écrits.
À la fin de l’exposition, une partie contemporaine provoque des rencontres entre Giacometti et des artistes d’aujourd’hui autour de la survivance de la figure de « l’Homme qui marche », interrogeant ses chutes et ses espoirs actuels.
Prestations
Equipements
A moins de 20 mn à pied de la gare de Saint-Cyprien Arenes !
Environ 19 min (1646 m).
Egalement, Gare Le Toec à moins de 40 mn, Gare Toulouse Matabiau à moins de 40 mn
La meilleure desserte pour la gare SAINT-CYPRIEN ARÈNES propose jusqu’à 41 A/R par jour entre 05:33:30 et 21:21:30.
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