TOULOUSE
Tout d’abord avec Achrakyne, une œuvre contemporaine du compositeur toulousain Benjamin Attahir, mêlant traditions orientales et langage musical moderne. Suivront les Danses de Presles d’Étienne Perruchon, véritables tableaux expressifs aux rythmes tantôt vifs, tantôt méditatifs. En point d’orgue, les musiciens nous accorderont un dernier tango dans les bras des célèbres Quatre Saisons d’Astor Piazzolla, ici revisitées dans une version aussi surprenante qu’envoûtante pour quatuor à cordes et marimba.